Le Docteur Pascal

Le Docteur Pascal (paragraphe n°3)

Chapitre A la mémoire de MA MERE et à MA CHERE FEMME je dédie ce roman qui est le résumé et la conclusion de toute mon œuvre.1

Un instant encore, il demeura près de l'armoire, lisant la note, sous un rayon doré qui tombait de la fenêtre du milieu. Lui-même, dans cette clarté d'aube, apparaissait, avec sa barbe et ses cheveux de neige, d'une solidité vigoureuse bien qu'il approchât de la soixantaine, la facesi fraîche, les traits si fins, les yeux restés limpides, d'une telle enfance, qu'on l'aurait pris, serré dans son veston de velours marron, pour un jeune homme aux boucles poudrées.

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