Le Docteur Pascal

Le Docteur Pascal (paragraphe n°561)

Chapitre IV

Alors, ils restèrent un instant face à face, muets et menaçants. La Souleiade, autour d'eux, élargissait son silence nocturne, les ombres légères de ses oliviers, les ténèbres de ses pins et de ses platanes, où chantait la voix attristée de la source ; et, sur leur tête, il semblait que le vaste ciel criblé d'étoiles eût pâli d'un frisson, malgré l'aube encore lointaine.

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