Nana

Nana (paragraphe n°1075)

Chapitre VI

Comme on mangeait des œufs à la coque et des côtelettes, très simplement, madame Hugon se lamenta en femme de ménage, racontant que les bouchers devenaient impossibles ; elle prenait tout à Orléans, on ne lui apportait jamais les morceaux qu'elle demandait. D'ailleurs, si ses hôtes mangeaient mal, c'était leur faute : ils venaient trop tard dans la saison.

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