Nana

Nana (paragraphe n°1411)

Chapitre VII

Ah ! oui, le fruitier et sa femme... Eh bien ! mon cher, ils ne se sont jamais touchés, pas ça !... Elle était très portée là-dessus, tu comprends. Lui, godiche, n'a pas su... Si bien que, la croyant en bois, il est allé ailleurs avec des roulures qui l'ont régalé de toutes sortes d'horreurs, tandis qu'elle, de son côté, s'en payait d'aussi raides avec des garçons plus malins que son cornichon de mari... Et ça tourne toujours comme ça, faute de s'entendre. Je le sais bien, moi !

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