Nana

Nana (paragraphe n°1628)

Chapitre VIII

La vérité était que madame Lerat se sentait inquiète, en voyant sa nièce lui donner à grand-peine des pièces de vingt sous de loin en loin, pour payer la pension du petit Louis. Sans doute, elle se dévouerait, elle garderait quand même l'enfant et attendrait des temps meilleurs. Mais l'idée que Fontan les empêchait, elle, le gamin et sa mère, de nager dans l'or, l'enrageait au point de lui faire nier l'amour. Aussi concluait-elle par ces paroles sévères :

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