Nana

Nana (paragraphe n°1665)

Chapitre VIII

Un soir, Nana, en rentrant vers onze heures, trouva la porte fermée au verrou. Elle tapa une première fois, pas de réponse ; une seconde fois, toujours pas de réponse. Cependant, elle voyait de la lumière sous la porte, etFontan, à l'intérieur, ne se gênait pas pour marcher. Elle tapa encore sans se lasser, appelant, se fâchant. Enfin, la voix de Fontan s'éleva, lente et grasse, et ne lâcha qu'un mot :

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