Nana

Nana (paragraphe n°1752)

Chapitre IX

Nom de Dieu ! foutez-moi la paix... Voilà un quart d'heure perdu à des stupidités... Oui, des stupidités.. Ça n'a pas le sens commun... Et c'est si simple pourtant ! Toi, Fontan, tu ne bouges pas. Toi, Rose, tu as ce petit mouvement, vois-tu, pas davantage, et tu descends... Allons, marchez, cette fois. Donnez le baiser, Cossard.

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