Nana

Nana (paragraphe n°1846)

Chapitre IX

Elle attendit. Cette phrase lui montait aux lèvres : " Fauchery n'a rien à te refuser " ; mais elle sentit que ce serait un peu raide comme argument. Seulement, elle eut un sourire, et ce sourire, qui était drôle, disait la phrase. Muffat, ayant levé les yeux sur elle, les baissa de nouveau, gêné et pâle.

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