Nana

Nana (paragraphe n°2404)

Chapitre XII

Il la voyait dans une fosse, avec le décharnement d'un siècle de sommeil ; et ses mains s'étaient jointes, il bégayait une prière. Depuis quelque temps, la religion l'avait reconquis ; ses crises de foi, chaque jour, reprenaient cette violence de coups de sang, qui le laissaient comme assommé. Les doigts de ses mains craquaient, il répétait ces seuls mots, continuellement :

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