Nana

Nana (paragraphe n°2854)

Chapitre XIV

On ne sait pas au juste si la contagion est à craindre au début ou vers la fin, expliquait Fontan à Fauchery. Un interne de mes amis m'assurait même que les heures qui suivent la mort sont surtout dangereuses... Il se dégage des miasmes... Ah ! je regrette ce brusque dénouement ; j'aurais été si heureux de lui serrer la main une dernière fois.

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