Nana

Nana (paragraphe n°341)

Chapitre II

Nana jouait la modestie. Elle répondait par de petits mouvements de tête, tout en faisant de rapides réflexions. Ça devait être le vieux qui avait amené l'autre ; ses yeux étaient trop polissons. Pourtant, il fallait aussi se méfier de l'autre, dont les tempes se gonflaient drôlement ; il aurait bien pu venir tout seul. C'était ça, le concierge l'avait nommée, et ils se poussaient, chacun pour son compte.

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