Nana

Nana (paragraphe n°420)

Chapitre III

Un geste paresseux compléta sa pensée. Certes, ce ne serait pas après y avoir vécu dix-sept ans qu'elle changerait son salon. Maintenant, il resterait tel que sa belle-mère avait voulu le conserver de son vivant. Puis, revenant à la conversation :

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