Nana

Nana (paragraphe n°492)

Chapitre III

Elle s'était assise, elle parlait orgueilleusement de son fils aîné, un grand gaillard qui, après s'être engagé dans un coup de tête, venait d'arriver très vite au grade de lieutenant. Toutes ces dames l'entouraient d'une respectueuse sympathie. La conversation reprit, plus aimable et plus délicate. Et Fauchery, à voir là cette respectable madame Hugon, cette figure maternelle éclairée d'un si bon sourire, entre ses larges bandeaux de cheveux blancs, se trouva ridicule d'avoir soupçonné un instant la comtesse Sabine.

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