Nana

Nana (paragraphe n°672)

Chapitre IV

Son fils Ollivier, dont elle parlait avec fierté, était élève à l'école de marine. Alors, on causa des enfants. Toutes ces dames s'attendrissaient. Nana dit ses grandes joies : son bébé, le petit Louis, était maintenant chez sa tante, qui l'amenait chaque matin, vers onze heures ; et elle le prenait dans son lit, où il jouait avec Lulu, son griffon. C'était à mourir de rire de les voir tous les deux se fourrer sous la couverture, au fond. On n'avait pas idée comme Louiset était déjà fûté.

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