Nana

Nana (paragraphe n°758)

Chapitre IV

Rose tourna la tête. Elle buvait son café à petites gorgées, elle regardait Steiner fixement, très pâle ; et toute la colère contenue de son abandon passa dans ses yeux comme une flamme. Elle voyait plus clair que Mignon ; c'était bête d'avoir voulu recommencer l'affaire de Jonquier, ces machines-là ne réussissaient pas deux fois. Tant pis ! elle aurait Fauchery, elle s'en toquait depuis le souper ; et si Mignon n'était pas content, ça lui apprendrait.

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