Nana
Nana (paragraphe n°847)
Chapitre V
Simonne ouvrait la bouche. Mais ses paroles furent couvertes par un nouveau cri, qui éclata près du foyer. La voix aiguè de l'avertisseur lançait dans le couloir, à toute volée : " C'est frappé ! "
Le site des archives d'Emile Zola
Nana
Nana (paragraphe n°847)
Chapitre V
Simonne ouvrait la bouche. Mais ses paroles furent couvertes par un nouveau cri, qui éclata près du foyer. La voix aiguè de l'avertisseur lançait dans le couloir, à toute volée : " C'est frappé ! "