Pot-Bouille

Pot-Bouille (paragraphe n°1140)

Chapitre VII

Elle avait à peine regardé Octave, comme indifférente à cette jeunesse d'un beau garçon. Il lui souriait pourtant, surpris, touché de sa grâce, ne sachant ce qu'il devait croire ; tandis que la tante, vieillie dans un célibat et une chasteté qui ne lui avaient rien coûté, continuait, en baissant la voix :

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