Pot-Bouille

Pot-Bouille (paragraphe n°320)

Chapitre II

Et ce qui m'irrite, c'est qu'elle n'est pas trop mal, quand elle veut, reprit madame Josserand. Voyons, essuie tes yeux, regarde-moi comme si j'étais un monsieur en train de te faire la cour... Tu souris, tu laisses tomber ton éventail, pour que le monsieur, en le ramassant, effleure tes doigts... Ce n'est pas ça. Tu te rengorges, tu as l'air d'une poule malade... Renverse donc la tête, dégage ton cou : il est assez jeune pour que tu le montres.

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