Pot-Bouille

Pot-Bouille (paragraphe n°442)

Chapitre III

La jeune fille attaqua le morceau, sans trouble aucun. D'ailleurs, sa mère ne la quittait plus des yeux, de l'air d'un sergent prêt à punir d'une gifle une faute de théorie. Son désespoir était que l'instrument, essoufflé par quinze années de gammes quotidiennes, n'eût pas les sonorités du grand piano à queue des Duveyrier ; et jamais sa fille, selon elle, ne jouait assez fort.

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