Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1012)

Partie : Partie 3, chapitre 1

Alors, il fallut bien qu'Hélène tournât les yeux et saluât. Les deux femmes échangèrent un hochement de tête. Madame Deberle, en robe de soie à mille raies, garnie de dentelles blanches, occupait le centre de la nef, à deux pas du chœur, très fraîche, très voyante. Elle avait amené sa sœur Pauline, qui se mit à gesticuler vivement de la main. Les chants continuaient, la voix large de la foule roulait sur une gamme descendante, tandis que des notes suraiguës d'enfants piquaient çà et là le rythme traînard et balancé du cantique.

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