Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1088)

Partie : Partie 3, chapitre 1

Cependant, Hélène et Henri étaient restés tout frissonnants de se trouver ainsi brusquement seuls, dans l'ombre d'une rangée de grands marronniers qui bordaient la rue. Ils firent doucement quelques pas. Par terre, les marronniers avaient laissé tomber une pluie de leurspetites fleurs, et ils marchaient sur ce tapis rose. Puis, ils s'arrêtèrent, le cœur trop gonflé pour aller plus loin.

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