Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1203)

Partie : Partie 3, chapitre II

Elle le tutoyait, elle sanglotait. La source de ses larmes, tarie depuis trois semaines, ruisselait sur ses joues. Elle était demeurée entre ses bras, caressante et familière comme un enfant, emportée dans cet épanouissement de toutes ses tendresses. Puis, elle retomba à genoux, elle reprit Jeanne pour l'endormir contre son épaule ; et, de temps à autre, pendant que safille reposait, elle levait sur Henri des yeux humides de passion.

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