Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1236)

Partie : Partie 3, chapitre III

Et elle gardait des rancunes d'un après-midi, les yeux fixés sur le mur, s'entêtant, tombant à de grandes tristesses que sa mère désolée ne pouvait comprendre. Le docteur ne savait que dire ; les accès se produisaient toujours lorsqu'il était là, et il les attribuait à l'état nerveux de la malade. Surtout il recommandait qu'on évitât de la contrarier.

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