Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1257)

Partie : Partie 3, chapitre III

Elle ne répondait pas, elle ne bougeait pas, n'abaissait même pas les paupières, avec ses grands yeux fixes, d'où sortait une flamme. L'ombre farouche était descendue sur son front, ses joues blêmissaient et se creusaient. Déjà elle renversait les poignets, comme à l'approche d'une crise de convulsions. Hélène se leva vivement, en lasuppliant de parler ; mais elle gardait sa raideur entêtée, elle arrêtait sur sa mère des regards si noirs, que celle-ci finissait par rougir et balbutier :

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