Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1318)

Partie : Partie 3, chapitre III

Certains soirs, cependant, à la tombée de la nuit, Hélène s'abandonnait. Depuis la maladie de sa fille, elle restait grave, un peu pâle, avec une grande ride au front, qu'elle n'avait point auparavant. Et lorsque Jeanne s'apercevait d'un de ces moments de lassitude, d'une de ces heures désespérées et vides, elle-même se sentait très malheureuse, le cœur gros d'un vague remords. Doucement, sans parler, elle se pendait à son cou. Puis, à voix basse :

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