Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1463)

Partie : Partie 3, chapitre V

Vous avez raison, balbutia-t-elle, oui, je suis affligée et j'ai besoin de vous... Il faut que je vous confesse ces choses. Quand j'étais petite, je n'entrais guère dans les églises ; aujourd'hui, je ne puis assister à une cérémonie sans être profondément troublée... Et là, tenez, tout à l'heure, ce qui m'a fait sangloter, c'est cette voix de Paris qui ressemble à un ronflement d'orgues, c'est cette immensité de la nuit, c'est ce beau ciel... Ah ! je voudrais croire. Aidez-moi, enseignez-moi.

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