Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1477)

Partie : Partie 3, chapitre V

Elle reprit haleine, frissonnante. Enfin, je suis à bout de force... Vous aviez raison, mon ami, cela me soulage de vous confier ces choses... Mais, je vous en prie, dites-moi ce qui se passe au fond de mon cœur. J'étais si calme, j'étais si heureuse. C'est un coup de foudre dans ma vie. Pourquoi moi ? Pourquoi pas une autre ? car jen'avais rien fait pour cela, je me croyais bien protégée... Et si vous saviez ! Je ne me reconnais plus... Ah ! aidez-moi, sauvez-moi !

?>