Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1572)

Partie : Partie 4, chapitre 1

C'était la pianiste, la dame qui avait un si beau talent. Toutes les têtes se tournèrent par politesse. Mais, au milieu du recueillement, on entendit de grosses voixd'hommes discutant dans le petit salon. Madame Deberle parut désespérée. Elle se donnait un mal infini.

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