Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1673)

Partie : Partie 4, chapitre II

Et elle se secouait, les cheveux mouillés encore, toute rose d'avoir été frottée, d'une fraîcheur qui sentait bon. En se débattant, elle avait fait glisser sa camisole ; son jupon se dénouait ; ses bas tombaient, montrant sespetites jambes. Pour le coup, comme disait Rosalie, Mademoiselle ressemblait à un Jésus. Mais Jeanne était très fière d'être propre ; elle ne voulait pas qu'on la rhabillât.

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