Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1764)

Partie : Partie 4, chapitre III

Et, dès lors, elle aussi joua, faisant l'homme, avec un grossissement involontaire de la voix et des airs cavaliers qu'elle prenait, entraînée par la situation. Madame Berthier roucoulait, la grosse madame de Guiraud se donnait une peine infinie pour être vive et spirituelle. Pierre entra mettre du bois au feu ; et, d'un regard en dessous, il examinait ces dames, qu'il trouvait drôles.

?>