Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1852)

Partie : Partie 4, chapitre III

Et elle nouait ses petits bras autour des jambes de sa mère, elle pleurait dans les plis de sa robe, s'accrochant à elle, se faisant lourde pour l'empêcher d'avancer. Les aiguilles marchaient, il était trois heures moins dix. Alors, Hélène pensa que jamais elle n'arriverait assez tôt ;et, la tête perdue, elle repoussa Jeanne violemment, en criant :

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