Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1860)

Partie : Partie 4, chapitre IV

Malignon, renversé dans un fauteuil, allongeant les jambes devant le grand feu qui flambait, attendait tranquillement. Il avait eu le raffinement de fermer les rideaux des fenêtres et d'allumer les bougies. La première pièce, où il se trouvait, était vivement éclairée par un petit lustre et deux candélabres. Dans la chambre, au contraire, une obscurité régnait ; seule la suspension de cristal mettait là un crépuscule à demi éteint. Malignon tira sa montre.

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