Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1888)

Partie : Partie 4, chapitre IV

Vous savez que nous avons répété ce matin... Je crains bien de n'avoir pas eu la main heureuse en choisissant madame Berthier. Elle fait une Mathilde pleurnicheuse, insupportable... Ce monologue si joli, quand elle s'adresse à la bourse : " Pauvre petite, je te baisais tout à l'heure... ", eh bien ! elle le récite comme une pensionnaire qui a préparé un compliment... Je suis très inquiète.

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