Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1914)

Partie : Partie 4, chapitre IV

Et comme on ne lui répondait pas, il prit sa canne, en continuant de causer, pour affecter un beau sang-froid. On avait tout le temps. Justement, il existait un autre escalier, un petit escalier de service abandonné, mais où l'on pouvait passer encore. Le fiacre de madame Deberle était resté devant la porte ; il les emmènerait tous deux par les quais. Et il répétait :

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