Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°1973)

Partie : Partie 4, chapitre V

Alors, le temps coula. Trois heures sonnèrent à la pendule. Un jour bas et louche entrait par les fenêtres. Des nuées couleur de suie passaient, qui assombrissaient encore le ciel. A travers les vitres, couvertes d'une légère buée, on apercevait un Paris brouillé, effacé dans unevapeur d'eau, avec des lointains perdus dans de grandes fumées. La ville elle-même n'était pas là pour tenir compagnie à l'enfant, comme par ces clairs après-midi, où il lui semblait qu'en se penchant un peu, elle allait toucher les quartiers avec la main.

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