Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°2140)

Partie : Partie 5, chapitre II

Cependant, Hélène avait trouvé madame Deberle et sa sœur Pauline dans le pavillon japonais, où elles passaient souvent les après-midi. Il y faisait très chaud, une bouche de calorifère y soufflait une haleine étouffante. Les larges glaces étaient fermées, on apercevait l'étroit jardin en toilette d'hiver, pareil à une grande sépia traitée avec un fini merveilleux, détachant sur la terre brune les petites branches noires des arbres. Les deux sœurs se disputaient vertement.

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