Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°2288)

Partie : Partie 5, chapitre III

Lorsque Rosalie entra avec Zéphyrin, elle se souleva sur l'oreiller. Le petit soldat, tête nue, les mains élargies, se dandinait pour cacher sa grosse émotion. Il aimait bien Mademoiselle, cela l'embêtait sérieusement de lui voir passer l'arme à gauche, comme il le disait dans la cuisine. Aussi, malgré les avertissements de Rosalie, qui lui avait recommandé d'être gai, demeura-t-il stupide, la figure renversée, en l'apercevant si pâle, réduite à rien du tout. Il était resté sensible, avec ses allures conquérantes. Il ne trouva pas une de ces belles phrases, comme il savait lestourner maintenant. La bonne, par-derrière, le pinça pour le faire rire. Mais il parvint seulement à balbutier :

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