Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°277)

Partie : Partie 1, chapitre III

Merci, merci, Dieu vous le rendra... C'est comme ce cher monsieur, il fait plus de bien au pauvre monde que tous les gens dont c'est le métier. Vous ne savez pas qu'il m'a soignée pendant quatre mois ; et des médicaments, et du bouillon, et du vin. On n'en trouve pas beaucoup des riches comme ça, si honnêtes avec un chacun. Encore un ange du bon Dieu... Oh ! là, là ! c'est une vraie maison que j'ai dans le ventre...

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