Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°317)

Partie : Partie 1, chapitre III

Le dîner fut très gai, Jeanne allait mieux encore, et les deux frères, qui la gâtaient, obtinrent qu'elle mangerait un peu de salade, qu'elle adorait, malgré la défense formelle du docteur Bodin. Puis, lorsqu'on passa dans la chambre, l'enfant, encouragée, se pendit au cou de sa mère en murmurant :

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