Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°326)

Partie : Partie 1, chapitre IV

Trois jours plus tard, par un clair après-midi de février, elle descendit en effet avec sa fille. La concierge leur ouvrit la porte de communication. Au fond du jardin, dans une sorte de serre transformée en pavillon japonais, elles trouvèrent madame Deberle, ayant auprès d'elle sa sœur Pauline, toutes deux les mains abandonnées, avec des ouvrages de broderie sur une petite table, qu'elles avaient posés là et oubliés.

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