Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°397)

Partie : Partie 1, chapitre IV

Malignon avait une loge pour le lendemain, aux Folies Dramatiques. Il l'offrit galamment, sans paraître tenir rancune à madame Deberle ; d'ailleurs, ils se querellaient toujours. Pauline voulut savoir si elle pouvait aller voir la pièce qu'on jouait ; et comme Malignon riait, en branlant la tête, elle dit que c'était bien stupide, que les auteurs auraient dû écrire des pièces pour les jeunes filles. On ne lui permettait que La Dame blanche et le théâtre classique.

?>