Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°545)

Partie : Partie 2, chapitre 1

Oh ! il y a beau temps... Quand nous étions tout petiots, nous allions à la maraude ensemble. Nous avons joliment reçu des coups de gaule ; pour ça, c'est bien vrai... Il faut dire que les Lacour et les Pichondemeuraient dans la même traverse, côte à côte. Alors, n'est-ce pas ? la Rosalie et moi, nous avons été élevés quasiment à la même écuelle... Puis, tout son monde est mort. Sa tante Marguerite lui a donné la soupe. Mais elle, la mâtine, elle avait déjà des bras du tonnerre...

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