Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°551)

Partie : Partie 2, chapitre 1

Oh ! madame, oh ! madame... On voit bien que vous ne la connaissez point. J'en ai reçu, des calottes !...Mon Dieu ! les garçons, ça aime à rire, n'est-ce pas ? Je la pinçais, des fois. Alors, elle se retournait, et v'lan ! en plein museau... C'est sa tante qui lui répétait : " Vois-tu, ma fille, ne te laisse pas chatouiller, ça ne porte pas chance. " Le curé aussi s'en mêlait, et c'est peut-être bien pour ça que notre amitié tient toujours... On devait nous marier après le tirage au sort. Puis, va te faire fiche ! les choses ont mal tourné. La Rosalie a dit qu'elle servirait à Paris pour s'amasser une dot en m'attendant... Et voilà, et voilà...

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