Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°558)

Partie : Partie 2, chapitre 1

Par les portes ouvertes, on entendit en effet l'essoufflement de la bonne qui montait, chargée de son panier. Zéphyrin recula dans un coin de la pièce ; un rire silencieux fendait sa bouche d'une oreille à l'autre, et ses yeux en trous de vrille luisaient d'une malice campagnarde. Rosalie entra droit dans la chambre, comme elle en avait l'habitude familière, pour montrer les provisions du matin à sa maîtresse.

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