Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°615)

Partie : Partie 2, chapitre 1

Il mourait de faim, Madame ; il m'avait volé une carotte crue... On les nourrit si mal ! Puis, imaginez-vous qu'il est allé au diable, le long de la rivière, je ne sais où... Vous-même, Madame, vous m'auriez dit : " Rosalie, donnez-lui donc un bouillon... "

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