Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°855)

Partie : Partie 2, chapitre IV

Dans le vestibule du petit hôtel, Pierre se tenait debout, en habit et en cravate blanche, ouvrant la porte à chaque roulement de voiture. Une bouffée d'air humide entrait, un reflet jaune du pluvieux après-midi éclairait le vestibule étroit, empli de portières et de plantes vertes. Il était deux heures, le jour baissait comme par une triste journée d'hiver.

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