Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°870)

Partie : Partie 2, chapitre IV

Le salon s'emplissait, les rangées de chaises, en face du rideau rouge, se trouvaient presque toutes occupées, et un tapage de voix enfantines montait. Des garçons arrivaient par bandes. Il y avait déjà trois Arlequins, quatre Polichinelles, un Figaro, des Tyroliens, des Ecossais. Le petit Berthier était en page. Le petit Guiraud, un petit bambin de deux ans et demi, portait son costume de Pierrot d'une façon si drôle, que tout le monde l'enlevait au passage pour l'embrasser.

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