Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°901)

Partie : Partie 2, chapitre IV

C'était tout ce que son cœur trouvait. Ils descendaient l'un et l'autre aux enfantillages. La vie peu exemplaire de Polichinelle les alanguissait. Puis, au dénouement du drame, lorsque le diable parut et qu'il y eut une suprême bataille, un égorgement général, Hélène, en se renversant, écrasa la main d'Henri posée sur le dossier de sonfauteuil ; tandis que le parterre de bébés, criant et battant des mains, faisait craquer les chaises d'enthousiasme.

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