Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°944)

Partie : Partie 2, chapitre IV

Ce fut comme une haleine embrasée qui la brûla de la tête aux pieds. Mon Dieu ! il avait parlé, elle ne pourrait plus feindre la paix si douce de l'ignorance. Elle cacha son visage empourpré derrière son éventail. Les enfants, dans l'emportement des derniers quadrilles, tapaient plus fort des talons. Des rires argentins sonnaient, des voixd'oiseaux laissaient échapper de légers cris de plaisir. Une fraîcheur montait de cette ronde d'innocents lâchés dans un galop de petits démons.

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