Une page d'amour

Une page d'amour (paragraphe n°987)

Partie : Partie 2, chapitre V

Cependant, la nuit venait, un vent froid passa dans l'air. Jeanne, rêveuse, eut un frisson. Elle posa la tête sur la poitrine de sa mère ; et, comme si la question se fût rattachée à ses réflexions profondes, elle murmura une seconde fois :

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